Le salon automobile suisse n’est pas vraiment une super voiture ou une voiture électrique. L’entreprise hollandaise d’affaires-v prend des commandes pour son véhicule volant, appelé liberté.
Tous les visiteurs qui prendront leur endurance au cours des dix jours suivants au sein du site les visiteurs des jams avant d’arriver sur le stand geneve (suisse) rêvent de cette réponse. Décollage à onze mille pieds pour survoler les visiteurs du site au lieu d’être empêtré dans les visiteurs du site. C’est exactement ce que propose l’entreprise hollandaise-v, avec sa première voiture volante de production, dite «liberté». « croyez, vous êtes pris, vous prenez ensuite une petite rue à l’aéroport le plus proche, et vous décollez », a déclaré chris klok, créateur de mode de cette machine inhabituelle, la moitié de l’hélicoptère, la moitié de la voiture.
Décollage en moins de 15 minutes
La liberté au début regarde une cabine d’hélicoptère très allongée, avec des ailes de toit pliées, et une aile arrière. Au fond de, se trouve le moteur de 200 chevaux pour le vol. Chaque autre moteur d’une centaine de chevaux lui permet de parcourir plus de mille kilomètres, à un rythme qui atteint 160 km / h.
Dans la cabine, ne comptez pas sur la consolation. L’influence générale est vers une cabine d’avion que l’intérieur d’une berline. Un grand banc peut accueillir deux personnes, une roue de direction est insérée dans le tableau de bord qui rappelle sincèrement celle d’un avion. Entre les jambes de la force motrice peut alors installer un accord avec, voler. Cependant, le transfert de la configuration de la rue à la configuration de vol ne semble plus tout à fait apparent au début.
« d’abord vous devez déplier les lames, puis vous débarrasser de l’aileron et ensuite faire un certain nombre d’examens techniques, » dit klok, « avec la norme, cela ne prend pas plus de 10 minutes ».
500 000 euros par voiture
Sur le salon suisse, le producteur affirme avoir signé plusieurs commandes. Trente en général ont déjà été dépensés avec buddy-v, pour un prix vers un bugatti qu’un billet low-cost: 500 000 euros. Sans compter que la licence du pilote devait voler, suite au permis de conduire. L’entreprise fait, mais, fournir une formation de vol supplémentaire.
Pal-v n’est pas le plus efficace sur l’écran du moteur de Genève. Déjà présent l’an dernier, Airbus dévoile ce 12 mois le deuxième modèle de papa, un uam (voiture de mobilité urbaine). Là où la voiture volante du buddy-v est destinée à un marché cible privé, la pop-up s’adapte en un fournisseur de mobilité dans les zones urbaines, comme un uber des tunes. Reste, mais, la question des autorisations. Chris Klok dit que la liberté ne peut pas décoller des petits aéroports.
En France, la direction générale de l’aviation civile (dgac) compte une vingtaine d’initiatives à l’international, mais étudie le brassage de ces nouvelles voitures chez les visiteurs. Conduire dans une voiture volante nécessite une évaluation de toute la loi sur les visiteurs du site, en particulier à basse altitude, sans parler des problèmes de sécurité. En lien avec l’usine nouvelle, le dgac effectue d’abord des recherches sur les routes aériennes dédiées. Ce n’est donc pas cette année que nous sommes en mesure de décoller du toit du salon de Genève pour rentrer à Paris.