La banque a signé un accord avec les syndicats majoritaires pour lancer un plan de désintégration collective de deux 135 emplois.
Après psa, la société générale a simplement signé avec les 3 syndicats majoritaires (snb / cfe, cgt et cftc) un plan de pauses collectives collectives. L’intention est de réduire la taille de la communauté de son département en laissant 2 150 employés en utilisant 2 020.
Cet appareil s’est installé place grâce aux ordonnances à la réglementation du travail. Il permet de préparer des départs volontaires sans passer par un plan de sécurité des processus.
Plus tôt que de l’imposer, la banque a l’intention de préférer le recours aux départs en transition d’intérêts, principalement en cas de retraite anticipée, mais également aux reclassements internes.
En ce qui concerne les pauses standard, la société générale ne dispose plus clairement d’un objectif sélectionné, bien qu’elle anticipe 1 200 départs à la retraite ou en transition.
Près de 930 humains seront touchés par ce plan de pauses collectives collectives.
Cet accord «permettra d’accroître la compréhension du personnel par le biais d’un remodelage des métiers, d’une redéfinition des talents et des parcours professionnels», indique l’institution financière.
« l’accord », maintient la décharge de la société générale, qui exclut tout licenciement pour des motifs économiques, donne la priorité au reclassement interne (formation, ressource utile à la mobilité géographique …). De plus, il permet aux employés d’opter pour un butin collectif conventionnel afin d’obtenir une mission ou de bénéficier d’une amélioration de l’abandon de la profession. »
De 0,6 mois à au moins un mois de salaire selon le semestre d’ancienneté
« Même si nous avons des ordres de travail et des pauses de négociation collective, cet accord présente au personnel des garanties similaires à celles qu’ils ont reçues dans les plans précédents, surtout s’il n’y a pas de départ volontaire », a répondu philippe. fournil, délégué général à la société générale.
Cependant, pour le cfdt, qui s’oppose à l’entreprise, «la direction prend une décision qui est employable et qui n’est plus, ce ne sont pas des mesures qui permettent un vrai volontaire», selon les termes de sa déléguée nationale monique motsch.
Le processus coupe principalement les directeurs de succursale de situation, les fonctionnaires de réception et les revendeurs de revenu. Les bénéficiaires de ce plan au départ seront fournis de zéro.6 mois à un mois de bénéfices en fonction du semestre d’ancienneté. En outre, cet accord prévoit des incitations économiques pour pourvoir des postes beaucoup moins attrayants ou positionnés dans des zones géographiques moins attrayantes.
L’employeur employait 18 500 personnes à l’arrêt de 2017 dans son réseau en France. Dans l’ensemble, en utilisant le cessez-le de 2020, on s’attend à ce que des milles écartent presque 9% de son personnel.