Le gouvernement a présenté jeudi une cinquantaine de mouvements pour promouvoir l’égalité des experts ou lutter contre la violence domestique.
L’égalité des sexes est le «but splendide de la période de cinq ans». A l’occasion de la journée internationale des droits des dames, jeudi 8 mars, le gouvernement devrait dévoiler une cinquantaine de mesures pour renforcer l’égalité professionnelle et lutter contre les violences sexuelles. Franceinfo fait l’inventaire des propositions clés attendues.
Réduire les écarts salariaux
« La chose fâcheuse est que tout existe dans la réglementation, mais en vérité, l’égalité n’est pas là. Notre intention est de passer de déclarations incroyables crime à une véritable égalité réelle. » Le ministre Edouard Philippe a déclaré après une assemblée de deux heures avec les employeurs et les syndicats.
Les agences de plus de 50 personnes avec des écarts de rémunération «injustifiés» entre hommes et femmes pourraient être pénalisées à partir de 2022. Elles peuvent être sujettes à une pénalité économique allant jusqu’à 1% de leur masse salariale. Les contrôles doivent être renforcés. Le ministre du travail, muriel pénicaud, garantit « 7 000 évaluations en une année complète », contre 1, sept cents ces jours-ci, comme il l’information dans les échos.
En outre, des logiciels détachables des droits pour détecter les écarts salariaux injustifiés peuvent être déployés dans les organisations comptant plus de 250 employés à compter de 2019 et entre 50 et 249 employés d’ici 2020. Ces mesures peuvent être incluses dans la tâche. De la réglementation sur les réformes sociales à présenter au sein du conseil des ministres en avril.
En fin de compte, marlene schiappa, secrétaire du pays pour l’égalité entre les femmes et les hommes, a présenté jeudi sur RTL, le statu quo d’une «pression du projet» public-privé pour promouvoir l’égalité des experts. Cette «pression opérationnelle» sera composée de Bernhard Arnault, PDG de LVMH, Christel Heydemann, président de Schneider Electric, Bernard Michel, président de Gécina, sophie Bellon, président de Sodexo, Nicolas Dufourcq, superviseur à la mode de Bpi, et sophie errante, mep lrem et président du conseil de surveillance de la caisse des dépôts. « L’objectif est de tester, d’innover, de faire analyser le tout en temps réel par le biais du forum économique mondial et de chercheurs indépendants qui peuvent nous guider dans nos réglementations publiques », a déclaré Marlene Schiappa.
Effectuer pour l’égalité dans les collèges
Un «référent égalitaire pour comprendre et ramener les ennuis» peut être nommé dans chaque collège à l’automne 2019. Cette initiative est stimulée par une faculté de val d’oise, à cause de la «excursion de france». « . ‘égalité’ sorti en octobre via marlène schiappa.
Ces jours-ci, ces référents existent, mais ils fonctionnent au niveau de l’académie. Ils sont chargés d’informer les équipes éducatives de la scolarité sur les questions d’égalité. Ils sont en outre responsables de l’organisation des activités académiques, comme indiqué sur le site internet du ministère de l’éducation nationale.
Dans une interview à le monde, marlène schiappa annonce également la création d’un «volet égalité des dames et des garçons (…) dans le cadre du« paquet parents »[site web accessible aux parents d’élèves], en vue de faire de la pédagogie de leur gestion, principalement sur les questions de couverture « .
Combattre la violence contre les femmes
Violence domestique Des contrats locaux seront signés entre les préfets, les magistrats, les hôpitaux et les institutions pour mettre en place un système de «communauté d’alerte» afin de mieux prendre conscience de la violence conjugale, comme cela se fait à angouleme (charente).
Une plateforme de géolocalisation de refuge d’urgence pour les victimes féminines, mise à la disposition des professionnels (associations, urgentologues, travailleurs sociaux …) sera développée pour les aider à trouver un refuge.
« mille lieux d’hébergement peuvent être réservés en 2018, avec un guide pour ces filles et leurs enfants », a déclaré marlene schiappa lors de la réunion nationale.
Violence sexuelle Le ministre de l’Intérieur, Gérard Collomb, a présenté le lancement d’une «plateforme de dénonciation de la violence sexuelle». Il s’agira d’une messagerie sur place ou d’un forum de discussion, explique le figaro. L’objectif: mettre en relation les victimes et les professionnels principalement éduqués qui peuvent leur proposer des statistiques sur les démarches à entreprendre.
Harcèlement Avenue. Un excellent «outrage sexiste ou sexuel» a été retenu par les autorités. Cette infraction comprendra des phrases, des sifflets et des propos obscènes axés sur les filles dans l’espace public.
Cette infraction devra être mentionnée « en flagrance » par les vendeurs de la police. Cette satisfaction peut vouloir se dérouler de quatre-vingt-dix à 750 euros, en ligne avec les indications d’un dossier parlementaire, relaie le figaro.